mercredi 14 avril 2010

Breguet night!

Les prévisions météo ont tenu toutes leurs promesses ce samedi, avec des plafonds allant jusque 1700m par endroits et de bons varios. La famille Breguet était de sortie toute l’après-midi, ce qui a permis de faire quelques jolies photos de groupe grâce à notre équipe de spotters.

Jolie photo de famille. Pour l'achat d'un 901, une Fauvette offerte en porte-clé cadeau.

Le 901 F-CCCM; le dessous est encore propre, ça ne durera pas (cf plus bas)

La journée s’est finie sur une pente faiblarde à des altitudes frisant le zéro absolu, ce qui n’a pas découragé l’équipage du T21 en pleine traversée de la pente à la rame, assailli par les attaques frontales de l’ASH (on remercie Chantal pour sa confiance envers notre barque : « ne lui passe pas dessous, il pourrait tomber ! ») et se faufilant entre le LS4, le 901 et la Fauvette pour finalement se « vacher » en milieu de la 19, dans un endroit assez bien caché pour enlever les combinaisons de vol et se livrer à des choses inavouables.

Notons également le brevet de Franck Rempault avec Philippe, dignement salué par un jet de seaux d’eau. Franck s’est dit « très heureux », comme il a pu nous le montrer pendant le repas :

Les chromosomes punk de Franck prennent le dessus

Bravo à Franck, donc, et merci pour ce témoignage d’affection !

La fin de journée a été l’occasion pour Olivier d’arroser son lâcher Midour avant de s’éclipser pour des raisons obscures. La suite de la soirée est un peu décousue, il y était entre autres question d’histoires d’amour avec un canard en plastique, de punch fruits rouges et d’attaques obliques sur travers de porc.

Le dimanche a été plus calme, avec tout de même quelques jolis vols et un Breguet 901 allant visiter les champs d’un pays étrange que nous appellerons le Moustachistan tellement on a l’impression que le port de la moustache et de la chemise à carreaux y est obligatoire, même pour les femmes et les enfants. Pour couper court aux rumeurs : non, Emeric n’a pas fait de 901 ! C’est bien Henri qui a posé notre nouveau jouet dans un lieu encore indéterminé, puisque la machine était à cheval entre l’aude et la haute-garonne. Quand à ces féroces vélivoles qu’on entend mugir dans nos campagnes et qui viennent jusques dans nos bras pour égorger notre maïs et notre colza, c’est à coups de 4x4 qu’ils ont pu extirper le planeur de ce sol un peu trop meuble.


Le 901 en vadrouille à Vaudreuille

Le remontage du planeur a causé de lourdes pertes vestimentaires à cause de la débauche de graisse sur les longerons.

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